Je vais y aller simplement cette fois-ci en ne transcrivant que le résumé du livre. Je vais aussi y aller de quelques commentaires.
«Construite en 1940 à l'Abord-à-Plouffe, cette maison située au bord de l'eau abritera trois familles en vingt ans de résistance. Malgré sa prestance et son accueil, elle n'engendrera que des regrets dans les coeurs de ceux qui auront misé sur ses murs pour être heureux. La famille Nevers, les angoisses du père, l'alcoolisme de la mère, les déboires de Luce, handicapée, l'espoir de Camille dont le bonheur jaillira ailleurs... Puis la famille Charette avec ses désordres, les vices de Mariette, l'homosexualité de Gaétan, la démence de Noëlla... Et la famille Vilard avec la frigidité de Reine, le désarroi de son mari et l'amour de François, l'amant désespéré de la belle dame...
La maison des regrets, avec ses tourments, ses tempêtes, changera trois fois d'âme et tentera en vain ou presque de souffler quelques joies. Tout cela sous les yeux impuissants de Jérôme Ruest, l'épicier-boucher de l'endroit, de sa soeur Yolande, d'Honoré, le cordonnier, et de mademoiselle Cardinal, l'institutrice qui, proche voisine, verra défiler tous ces gens d'un seul oeil faible, l'autre étant de verre.
Une oeuvre colossale comme seul Denis Monette peut en créer. De grandes histoires, quelques percées de soleil et un épais brouillard dans lequel se confondront tour à tour les occupants de cette triste demeure. La maison des regrets, un roman que personne n'oubliera !»
«Construite en 1940 à l'Abord-à-Plouffe, cette maison située au bord de l'eau abritera trois familles en vingt ans de résistance. Malgré sa prestance et son accueil, elle n'engendrera que des regrets dans les coeurs de ceux qui auront misé sur ses murs pour être heureux. La famille Nevers, les angoisses du père, l'alcoolisme de la mère, les déboires de Luce, handicapée, l'espoir de Camille dont le bonheur jaillira ailleurs... Puis la famille Charette avec ses désordres, les vices de Mariette, l'homosexualité de Gaétan, la démence de Noëlla... Et la famille Vilard avec la frigidité de Reine, le désarroi de son mari et l'amour de François, l'amant désespéré de la belle dame...
La maison des regrets, avec ses tourments, ses tempêtes, changera trois fois d'âme et tentera en vain ou presque de souffler quelques joies. Tout cela sous les yeux impuissants de Jérôme Ruest, l'épicier-boucher de l'endroit, de sa soeur Yolande, d'Honoré, le cordonnier, et de mademoiselle Cardinal, l'institutrice qui, proche voisine, verra défiler tous ces gens d'un seul oeil faible, l'autre étant de verre.
Une oeuvre colossale comme seul Denis Monette peut en créer. De grandes histoires, quelques percées de soleil et un épais brouillard dans lequel se confondront tour à tour les occupants de cette triste demeure. La maison des regrets, un roman que personne n'oubliera !»
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Moi, j'ai bien aimé cette histoire, mais contrairement à ce qu'en dit le résumé, je l'oublierai certainement en grande partie dans le futur. Il n'y a aucune intrigue à cette histoire. Ce qui est intéressant de voir, c'est comment sont gérés les nombreux problèmes des membres des familles habitant la maison des regrets, mais surtout le décor d'époque.
L'époque est très bien décrite. On a l'impression d'y vivre. Et je suis certaine que les personnes plus âgées qui lisent la maison des regrets s'y retrouvent. Quant aux plus jeunes, dont je fais partie, ils ont la chance de découvrir l'atmosphère du Québec pendant la deuxième guerre mondiale, et la fuite des hommes qui voulaient échapper à la circonscription.
À tous ceux qui aiment les romans d'époque, je recommande celui-ci, que je qualifierait de roman de moeurs. Rien de très excitant, mais pourtant assez dur à lâcher.
L'époque est très bien décrite. On a l'impression d'y vivre. Et je suis certaine que les personnes plus âgées qui lisent la maison des regrets s'y retrouvent. Quant aux plus jeunes, dont je fais partie, ils ont la chance de découvrir l'atmosphère du Québec pendant la deuxième guerre mondiale, et la fuite des hommes qui voulaient échapper à la circonscription.
À tous ceux qui aiment les romans d'époque, je recommande celui-ci, que je qualifierait de roman de moeurs. Rien de très excitant, mais pourtant assez dur à lâcher.
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