dimanche 31 janvier 2016

Bilan de janvier 2016

Le rythme de lecture ralentit dangereusement ce mois-ci, avec le retour au travail et le retour des cours en ligne...

Un seul roman lu complètement, 1 commencé et abandonné pour le moment, et un autre en cours.

Donc, au mois de janvier, j'ai lu :

1 livre
1 roman
395 pages

Il s'agit de : Il ne faut pas prendre l'ascenseur- Martin Michaud.

Un roman à découvrir !
En espérant que le mois de février sera plus riche en lectures (même si j'en doute fortement!)...

lundi 25 janvier 2016

Il ne faut pas parler dans l'ascenseur

Éditions : Goélette, 2010
395 pages
 
Quatrième de couverture :
 
Imaginez...
 
Une jeune femme lancée dans une course folle pour retrouver un homme qui, selon toute vraisemblance, n’'existe pas...

 Un enquêteur de la police de Montréal qui tente d'’élucider les meurtres crapuleux de deux hommes tués de la même manière à une journée d’intervalle...

 Un chasseur impitoyable qui pense que chacun doit payer pour ses fautes...

 Imaginez encore...

 Un chassé-croisé haletant qui révèle fil à fil l’effroyable lien entre ces trois destins.
 
Mon commentaire :
 
Cela faisait quelques années que je désirais découvrir les romans de Martin Michaud. J'avais son premier roman dans ma bibliothèque presque depuis sa sortie... C'est maintenant chose faite et je regrette de ne pas l'avoir fait plus tôt.
 
Au début, je l'avoue, je me suis demandé où l'auteur s'en allait avec ses skis. Son histoire de coma me paraissait saugrenue et je peinais à trouver le fil conducteur de l'histoire. Finalement, en dépit de mon agacement initial, je pense que c'est justement ces incohérences qui m'ont attachée aussi solidement à l'histoire.
 
Même si l'explication que j'ai trouvée en bout de ligne n'explique pas tout et me laisse quelque peu sur ma faim, je ne peux pas nier que j'ai dévoré ce roman d'un bout à l'autre. L'alternance entre ces histoires en apparence séparées me tenait bien accrochée.
 
Contrairement à d'autres, je n'ai rien à dire à propos de l'enquêteur. Sans nécessairement m'attacher à lui, je l'ai bien aimé. Oui, ses traits son stéréotypés, mais cela ne m'a pas dérangé.
 
Je pense que le simple fait qu'un roman ait réussi à m'accrocher à cette époque de l'année où je suis si brûlée au retour du travail est un exploit en soi. Ce n'est donc certainement pas le dernier livre de Martin Michaud que je lis.