vendredi 24 août 2012

The Duke and I

Titre français : La chronique des Bridgerton Daphné et le duc
Mon édition : Avon historical romance, 2000
371 pages

Quatrième de couverture :

The duke and the debutante made a bargain to keep the ton's matchmakers at bay- but what happens when the charade becomes all too real ?

Mon commentaire :

Jusqu'à aujourd'hui, presque la totalité des critiques que j'ai lues sur ce roman étaient plus qu'enthousiastes, elles étaient délirantes. Donc, même si je ne lis que rarement des romances depuis quelques années, je n'ai pas pu résister à me procurer le premier tome de la Chronique des Bridgerton.
Je dois avouer que le fait de lire tant de critique dithyrambiques à propos de ce livre a en quelque sorte mis ce livre sur un piédestal avant même que je l'ai lu. Je croyais qu'il allait révolutionner le genre, me passionner d'un bout à l'autre. Mais non. Je l'ai simplement aimé. Je ne suis pas tombée en amour avec les personnages, je n'ai pas vibré à l'évocation de la seule faiblesse de Simon. Le côté surprotecteur d'Anthony et de Benedict m'a énervée plus qu'il m'a plu. Et j'ai franchement trouvé que l'histoire du bégaiement n'était pas crédible, tout comme l'a mentionné Karine dans sa critique d'il y a quelques mois.
Mais rassurez-vous : j'ai suffisament aimé pour vouloir lire l'histoire de tous les frères et soeurs de Daphne. Et je sens que j'aimerai tout particulièrement l'histoire de Collin !
Pour l'instant, toutefois, je change de genre. Je ne suis pas encore assez accro aux romances pour vouloir les enchaîner une après l'autre !

21/26

lundi 13 août 2012

Hôpital de la montagne

Titre original : Kincaid
Mon édition : Club France-Loisir, 1986
Première édition : 1984
350 pages

Quatrième de couverture de mon édition :

Révoltée par les négligences des médecins dans l'hôpital où elle travaille, Kate Kincaid, une infirmière, abandonne la ville et l'homme qu'elle aime pour retrouver la vérité de son métier dans un hôpital de montagne, au fin fond des monts Appalaches.
Sera-t-elle capable de se plier à la formation rigoureuse, nécessaire pour devenir sage-femme ?
Osera-t-elle prendre les décisions graves qu'impliquent ses nouvelles fonctions dans un avant-poste médical perdu en pleine forêt ?
Et entre les deux hommes qu'elle aime, lequel choisira-t-elle : l'amant de la ville ou le séduisant jeune médecin rencontré à l'hôpital des montagnes ?

Mon commentaire :

Qui eût cru qu'un vieux livre accumulant la poussière au milieu d'un paquet d'aussi vieux Harlequin dans une résidence pour personne âgé deviendrait l'une de mes meilleures lectures de l'été ? C'est pourtant le cas.
Kate Kincaid, une infirmière compétente et pleine de ressources tente de rétablir la situation après qu'un médecin incompétent ait donné un médicament inaproprié à une femme enceinte. Pourtant, lorsque celle-ci porte plainte, le conseil formé de médecins de l'hôpital penche en faveur du médecin. Pourquoi ont-ils fait cela ? Pour se protéger mutuellement, bien sûr. Car si on donne raison à une infirmière, on crée un précédent et on met en danger tous les médecins... Révoltée par le manque de reconnaissance que l'on donne aux infirmières, Kate décide d'aller se former dans un hôpital loin de tout, là où les médecins sont rares et où les infirmières prennent des décisions qu'elles ne peuvent prendre ailleurs.
Sa formation a lieu à Adelphi, une petite ville au milieu des montagnes de la Virginie de l'Ouest, là où les infirmières disposent d'une grande autonomie. La formation de Kate mène à un diplôme d'infirmière auxiliaire et de sage femme.
Durant sa formation, Kate est amenée à exercée son métier auprès de gens rustres et peu éduqués, qui ne connaissent que la vie de montagne. Ces rencontres seront marquantes pour Kate, de même que pour les montagnards. J'ai particulièrement aimé les passages où Kate rencontre ces gens dans leur milieu.
Attention, la quatrième de couverture est mensongère en ce qui a trait à l'histoire d'amour. Elle laisse croire que celle-ci prend presque toute la place, alors que ce n'est pas du tout le cas. Elle est présente, bien sûr, mais prend très peu de place. Ne vous laissez pas berner, et ne lisez surtout pas ce roman pour cette raison.
En somme, Hôpital de la montagne est un roman léger, qui se lit facilement et qui fait passer quelques bonnes heures sans prise de tête.

La dame des livres

Âge : À partir de 7 ans
Illustrateur : David Small
Éditions : Syros, 2009
40 pages

Quatrième de couverture :

Moi, c'est Cal. Je suis pas le premier et pas le dernier non plus mais je suis l'aîné des garçons. Je peux rentrer la vache le soir venu, ce qu'est pas mal utile, vu que ma sœur Lark aurait le nez fourré entre les pages d'un livre de l'aube à la nuit si M'man le permettait. Lark, la plus liseuse des enfants que vous avez jamais vie, dit P'pa. Moi, non. Je suis pas porté sur les études. Du moins, pas avant que la dame des livres fasse son apparition...
Un album hommage aux bibliothécaires itinérantes.

Mon commentaire :

Voici un album que j'ai beaucoup apprécié, mais malheureusement pas autant que je ne l'aurais cru. Pour moi, un album faisant un hommage aux bibliothécaires itinérantes, ça ne pouvait être que génial. J'ai trouvé que l'idée, pourtant excellente, était mal exploitée et surtout très peu développée. L'accent est mis sur ce que Cal ressent à propos de la lecture avant et après la venue de la bibliothécaire, mais on n'assiste pas au processus de changement, ce qui à mon avis aurait été la partie la plus intéressante de l'histoire.
Les illustrations, quant à elles, sont classiques et n'ont rien de particulièrement joli. Elles rendent néanmoins bien l'atmosphère de l'histoire.
Au final, je recommanderais plus cet album aux aduultes amoureux de la lecture qu'aux enfants qui, bien honnêtement, risquent de s'ennuyer à la lecture de cette histoire...

mercredi 8 août 2012

Frankenstein

Adaptation de : Frankenstein ou le Prométhée moderne, de Mary Shelley
Illustrations : Christian Cailleaux
Éditions : Albin Michel Jeunesse, 2005
45 pages

Quatrième de couverture :

Le mal était fait !

Moi, sa créature, j'existais. Et je n'étais rien. Ni homme, ni bête.
D'ailleurs, je n'ai jamais eu de nom à moi.
Je porte celui de l'homme qui m'a créé: Frankenstein.
Celui-là même qui m'a refusé le droit au bonheur.

La terrifiante histoire du plus célèbre des monstres, fidèlement adaptée par Michel Piquemal.

Mon commentaire :

À tous ceux et celles qui croient encore que tous les albums s'adressent aux jeunes enfants, voici la preuve du contraire ! Cette adaptation de Frankenstein ne s'adresse certainement pas aux jeunes enfants.
Il s'agit d'une adaptation fidèle de l'oeuvre de Mary Shelley que j'ai lu il y a près de dix ans déjà. L'histoire demeure la même, seuls la longueur et le vocabulaire employé diffèrent.
Pourquoi ne s'adresse-t-il pas aux jeunes enfants ? Tout simplement par les thèmes employés : la haine, la soif de vengeance, le désespoir et les idées suicidaires... Rien de bien enfantin là-dedans. De plus, les illustrations, qui soit dit en passant, rendent magnifiquement l'atmosphère glauque de l'histoire, sont sombres et tristes.
D'une certaine façon, j'ai trouvé que cet album s'adressait davantage aux adultes qu'aux enfants, même si cet album peut être utilisé de façon fort utile pour faire comprendre aux jeunes où leur harcèlement et leur intimidation peut mener ceux qui en sont les victimes. Je pense toutefois qu'il faut y réfléchir à deux fois avant de l'utiliser, car la soif de vengeance de Frankenstein peut être très troublante pour certains jeunes. Un livre prometteur donc, mais à utiliser avec prudence.

mardi 7 août 2012

Le monde d'Éloi

Illustrations : Christine Battuz
Éditions : Enfants Québec, 2008
24 pages

Quatrième de couverture :

« Au début, Éloi ne voulait pas venir à la table de bricolage, mais il a eu le droit d'utiliser une auto rouge. Avec les roues qu'il trempait dans la peinture, il a fait plein de traces de toutes les couleurs sur sa feuille. C'était beau ! »

Éloi a quatre ans et il est autiste. C'est un enfant différent : il ne sait pas comment jouer avec les autres, il marche sur le bout des pieds, il est fasciné par les couleurs et la lumière. Parfois aussi, il se met à crier en se bouchant les oreilles quand il entend des bruits trop forts. Avec l'aide de l'éducatrice, les camarades d'Éloi parviendront à mieux le comprendre et à l'accepter avec ses différences.

Un album qui permet de mieux connaître l'enfant autiste.

Mon commentaire :

Je pense que vous connaissez bien ma fascination pour l'autisme maintenant. Chaque fois que je vois un livre ou un album qui en parle, c'est plus fort que moi, il faut que je l'emprunte ou que je l'achète. Donc, quand je suis tombée sur cet album bien en évidence à la bibliothèque, je l'ai pris tout de suite, me demandant s'il serait mieux réussi que Lolo l'autisme de Brigitte Marleau. Et bien, à certains égards, oui, il est mieux réussi que ce dernier, car les explications sur ce qu'est l'autisme sont plus complètes. En même temps, en étant plus complètes, elles sont nécessairement plus longues et risquent d'ennuyer l'enfant qui écoute l'histoire à la longue.
De plus, j'ai trouvé les illustrations moins attrayantes que celles de Brigitte Marleau. Elles sont bien colorées, mais on voit le grain des toiles qui ont été utilisées, ce que j'ai moins apprécié en dépit de l'originalité de la chose.
En bref, si vous avez le choix entre les deux, choisissez Lolo l'autisme, mais si vous ne trouvez que le monde d'Éloi, n'hésitez pas à le prendre ! C'est aussi une très belle réalisation de la part de l'auteure et de l'illustratrice.

Misha et le capteur de rêves

Illustrations : Guth Joly
Éditions : Belin, 2005
24 pages

Quatrième de couverture :

Cela faisait plusieurs nuits que Misha dormait très mal. Tous les matins, il se réveillait en pleurant de grosses larmes qui coulaient le long de ses joues : un vilain petit ourson noir lui courait après... Sa maman s'inquiéta et lui proposa d'aller se promener dans la forêt et de ramasser des fruits des bois. Seulement voilà... le vilain petit ourson noir rôde dans les environs !

Mon commentaire :

Depuis le temps que je lis des situations d'apprentissage et d'évaluation sur les Amérindiens et le capteur de rêves qui demandent que l'on raconte la légende du capteur de rêves avant de demander aux élèves d'en fabriquer un... Je cherchais en vain la légende qui pourrait convenir aux jeunes enfants. Avec Misha et le capteur de rêves, j'ai enfin trouvé l'histoire idéale pour la leur conter ! Toutes les légendes que je trouvais étaient soient incomplètes, soient inadaptées pour les enfants. Cet album, en plus de raconter les croyances amérindiennes reliées au capteur de rêves, conte une histoire. Cela permettra aux élèves d'identifier le capteur de rêves à une histoire, et donc de mieux s'en rappeler.
J'ai trouvé les illustrations magnifiques. Ce sont des aquarelles dont les rebords sont très bien définis contrairement aux aquarelles habituelles. De plus, des collages de dessins et de photos d'animaux sont incorporés dans les illustrations de la forêt, ce qui donne l'impression qu'ils sortent de l'image.
J'ai donc très peu à reprocher à cet album, mis à part qu'il est trop rapidement terminé !

dimanche 5 août 2012

Une prière pour Owen

Titre original : A Prayer for Owen Meany
Mon édition : Seuil, 1989
569 pages

Quatrième de couverture :

« Si je suis condamné à me souvenir d'un garçon à la voix déglinguée - ainsi commence le nouveau roman de John Irving-, ce n'est ni à cause de sa voix, ni parce qu'il fût l'être le plus petit que j'aie jamais connu, ni même parce qu'il fût l'instrument de la mort de ma mère. C'est à lui que je dois de croire en Dieu ; si je suis chrétien, c'est grâce à Owen Meany. »
Âgé de onze ans, Owen en paraissait six à peine. Mais sa frêle enveloppe dissimulait une volonté de fer, une foi absolue et la conviction profonde qu'il était l'instrument de Dieu.
Bien des années plus tard, depuis le Canada où il s'est installé, John Wheelwright évoque avec nostalgie le puzzle de sa jeunesse, dans une petite ville du New Hampshire : la vie de collégien, les premiers émois amoureux, la quête du père inconnu, les débuts sournois de la guerre du Vietnam ; et par-dessus tout l'amitié parfaite avec Owen - l'irrésistible Owen qui s'était voué à la double tâche de réparer le tort causé à John et de sauver le monde.
Roman initiatique, où alternent le burlesque et le tragique, tableau d'une génération sacrifiée, chronique insolite au délire soigneusement contrôlé, John Irving est ici plus que jamais inspiré par l'ange du Bizarre. Un ange qui pourrait bien s'appeler Owen Meany.

Mon commentaire :

Voilà de nouveau un livre de John Irving que j'ai mis très longtemps à lire (près de trois mois) mais que j'ai adoré ! Plus je lis cet auteur, plus je me rends compte que je dois le lire au compte-gouttes. Petit à petit, l'ensemble des détails et des longueurs que plusieurs lui reprochent prend mois d'importance et on peut ainsi mieux profiter de toute l'intelligence et de toute la symbolique qui se cachent derrière les détails.
Toutefois, comme pour tous les autres livres de Irving que j'ai lus, j'ai dévoré la fin en moins de temps qu'il faut pour le dire. Tout ce temps que j'ai patienté pour savoir si les visions d'Owen allaient se révéler vraies, vous n'y croiriez pas ! Je n'ai pas pu me retenir et j'ai tout lu le dernier chapitre (qui fait quand même une centaine de pages en petits caractères) d'un coup !

Comme toujours avec Irving, on retrouve des personnages, des éléments et des événements insolites dans un cadre tout à fait normal. Un petit homme à la voix qui résonne comme un perpétuel cri, une femme décédée assomée par une balle de baseball, un pasteur qui clame publiquement son doute quant à l'existence de Dieu, une grand-mère sénile et contrôlante, un personnage qui conserve un mannequin revêtu d'une robe rouge dans sa chambre, un facteur de discorde... Tout cela dans un bled perdu du New Hampshire, où en apparence rien ne se passe. Et puis des miracles, des visions, des rêves. Tout a une signification dans le roman de Irving et les éléments les plus bizarres sont pour la plupart des symboles.
La prochaine fois, je m'attaque à Le monde selon Garp pour pouvoir me situer dans la polémique du meilleur roman de Irving. Owen ou Garp ?


20 /26


3/16

jeudi 2 août 2012

Champollion et le mystère des hiéroglyphes

Âge : À partir de 9 ans
Éditions : du Sorbier, 2002
Collection : La vie des enfants
45 pages

Quatrième de couverture :

Jean-François Champollion est un véritable enfant prodige. À treize ans, outre le latin et le grec, il connaît l'hébreu, l'arabe, le syriaque et le chaldéen ! On ne s'étonnera donc pas qu'il réussisse à déchiffrer les hiéroglyphes !
Sylvie Baussier revient sur son enfance à Figeac, son départ pour Grenoble où l'attend son grand frère. Celui-ci le guide dans ses recherches et le fait entrer dans les meilleures institutions.
La passion de Jean-François pour l'Égypte grandit et, bientôt, il n'a plus qu'une idée en tête : déchiffrer les hiéroglyphes. On suite alors pas à pas ses avancées, ses hésitations, jusqu'à la découverte finale, le jour où il s'écrie : « J'ai trouvé ! »

Mon commentaire :

J'ai été fascinée par ma lecture de Champollion et le mystère des hiéroglyphes, qui retrace l'histoire de l'homme qui a le premier réussi l'exploit de déchiffrer les hiéroglyphes. Le livre est très bien construit, retraçant la vie de Champollion en ordre chronologique et en insistant sur le lien très fort qu'il avait avec son frère Jacques-Joseph. Le portrait de quelques personnes significatives dans la vie de Champollion, tel Napoléon, sont aussi brossés.
Je n'ai donc rien à reprocher à l'intérêt ou à la construction du livre. Ce qui m'a beaucoup plus embêté, par contre, c'est son niveau de difficulté. Le vocabulaire est très poussé, et j'ai bien l'impression que les seules explications ne suffisent pas à retenir l'intérêt des enfants. Dommage.
En tout cas, moi j'ai eu du plaisir à lire ce livre, et il m'a appris un paquet de choses. En bout de ligne, c'est ça l'important, non ?

Abécédaire du cirque

Âge : 4 à 10 ans
Éditions : Les heures bleues, 2008
58 pages

Quatrième de couverture :

Des sculptures de papier, un cirque rigolo et toutes les lettres de A à Z pour dessiner des mots, écrire de jolis poèmes et inventer des histoires fabuleuses.

Mon commentaire :


Lire un abécédaire n'est jamais bien passionnant, mais j'ai trouvé que celui-ci était plutôt bien fait. Les phrases tournent toutes autour du thème du cirque et intègrent amplement la lettre ainsi que le son de chaque lettre.
Quant aux images, elles sont vraiment hors de l'ordinaire. Elles sont faites à partir de photographies de sculptures de papier, ce qui leur donne l'air d'être en trois dimensions. Je trouve toutefois que pour de jeunes enfants, les illustrations manquent à la fois de netteté et de couleurs.
Je me suis souvent demandé comment utiliser l'abécédaire dans le contexte de la classe. Malheureusement, ce n'est pas en lisant celui-ci non plus que j'ai trouvé une réponse à ma question.

mercredi 1 août 2012

Bilan du mois de juillet 2012

Au mois de juillet, j'ai :

  • Lu 12 livres, dont trois livres jeunesse.
  • Lu 9 fictions, 3 non-fiction
  • Lu un total de 1891 pages (en réalité plus que cela, car j'ai beaucoup avancé dans plusieurs grosses briques qui ne sont toujours pas terminées. Ainsi, le nombre de pages lues pour le mois de juillet sera sans doute plus élevé qu'en vrai).
Côté challenges, ce fut un assez bon mois:


Raison et sentiments - Jane Austen


L'homme au complet marron - Agatha Christie


Raison et sentiments- Jane Austen
Funérailles célestes- Xinran
Givrée- Alain Monnier


Des fleurs pour Algernon- Daniel Keyes


Des fleurs pour Algernon - Daniel Keyes


La maison hantée et autres contes fantastiques- Louis Fréchette

Hors challenge :

Libre, le long voyage d'Henri - Ellen Levine
La lecture et l'écriture : pour que les garçons s'y intéressent
Les 7 clefs d'une vie épanouie-Geoffrey Mille
Lady Susan- Jane Austen
Abécédaire du cirque- Aline Martineau
Champollion et le mystère des hiéroglyphes