Ne compte pas les heures, de Joy Fielding, est un formidable roman qui amène une réflexion par rapport à la pertinence du suicide assisté.Ironie du sort, c'est le livre que je lisais quand nous avons fait euthanasier notre chien. D'ailleurs, je me suis toujours demandé pourquoi les animaux y avaient droit, alors qu'on s'acharne à garder en vie des personnes qui souffrent.
Dans ne compte pas les heures, c'est Mattie qui est atteinte de la maladie de Lou Gherig. Elle est comdamnée à se voir perdre la fonction de tous ses muscles, alors que son esprit demeure intact. C'est un malheur pour ces personnes de se voir traitées, incapable de même aller au toilettes par eux-mêmes, de se nourrir ou de se laver. Aimeriez-vous être à la place de Mattie ? Ne voudriez-vous pas mourir à sa place ?
Néanmoins, ce n'est pas du tout un livre pessimiste. Il raconte l'histoire d'un couple qui ne s'est jamais aimé, obligé de se marier car Mattie était enceinte. Pourtant, on les voit qui apprennent à s'aimer alors que Mattie s'affaiblit chaque jour.
Dans ne compte pas les heures, c'est Mattie qui est atteinte de la maladie de Lou Gherig. Elle est comdamnée à se voir perdre la fonction de tous ses muscles, alors que son esprit demeure intact. C'est un malheur pour ces personnes de se voir traitées, incapable de même aller au toilettes par eux-mêmes, de se nourrir ou de se laver. Aimeriez-vous être à la place de Mattie ? Ne voudriez-vous pas mourir à sa place ?
Néanmoins, ce n'est pas du tout un livre pessimiste. Il raconte l'histoire d'un couple qui ne s'est jamais aimé, obligé de se marier car Mattie était enceinte. Pourtant, on les voit qui apprennent à s'aimer alors que Mattie s'affaiblit chaque jour.
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