Cet après-midi, j'étais supposée travailler dans mes affaires d'université. Seulement, je me suis accordé «une petite heure de lecture» ce midi. Petite heure qui s'est terminé par un après-midi complet ! En fait, petite heure qui s'est terminé à l'instant même. J'ai tellement accroché à ce roman là que j'ai pas pu le lâcher. Maintenant qu'il est terminé, je me dit, tant qu'à avoir «perdu» tant de temps, perdons-en encore plus longtemps en en parlant tout de suite sur mon blogue ! Hé hé... Après ça, promis juré, je retourne à mes sacro-saintes démarches didactiques... Après avoir pris mon bain. Et en sortant du bain... Je vais probablement juste feeler pour aller me coucher, mais ça on verra tantôt.
Pour faire changement, je ne vais pas copier le résumé du livre, je vais recopier un passage du livre qui a mon avis résume mille fois l'univers cocasse dans lequel vous serez plongé en lisant «scrapbook».«Dans le scrapbook d'Annie Brière, tout le monde mènerait donc sa vie de façon fort imparfaite. Au sein de cette galerie humaine tissée de confusion, les actrices ratées coucheraient avec les producteurs dans l'espoir de lancer leur carrière; les producteurs s'amouracheraient des actrices ratées, ou bien ils frauderaient les institutions, mais quoi qu'il en soit, ils termineraient leur course sous les cocotiers; les correcteurs d'épreuves briseraient les coeurs des jeunes romancières, puis ils leur reviendraient, mais trop tard; les jeunes romancières répondraient à des appels cochons pour récupérer leur correcteur d'épreuves, tout ça pour aboutir dans le loft des créatifs publicitaires; [...]; les journalistes sportifs n'auraient d'yeux que pour les pancartes de stationnement, [...], les avocates abandonneraient leur carrière pour conseiller aux gens le sens dans lequel orienter leur lave-vaisselle, [...] oui, tout cela se mélangerait dans un seul et même bouillon existentiel, et que sais-je encore?»
J'en ai sauté des bouts, car évidemment, je ne veux pas vous voler tout le punch ! Ce roman est génial, car sous son apparence légère et humoristique, se trouve un contenu qui porte à réfléchir. Bref, pour moi, c'est la version Québécoise de Bridget Jones, mais avec une morale derrière !
Pour faire changement, je ne vais pas copier le résumé du livre, je vais recopier un passage du livre qui a mon avis résume mille fois l'univers cocasse dans lequel vous serez plongé en lisant «scrapbook».«Dans le scrapbook d'Annie Brière, tout le monde mènerait donc sa vie de façon fort imparfaite. Au sein de cette galerie humaine tissée de confusion, les actrices ratées coucheraient avec les producteurs dans l'espoir de lancer leur carrière; les producteurs s'amouracheraient des actrices ratées, ou bien ils frauderaient les institutions, mais quoi qu'il en soit, ils termineraient leur course sous les cocotiers; les correcteurs d'épreuves briseraient les coeurs des jeunes romancières, puis ils leur reviendraient, mais trop tard; les jeunes romancières répondraient à des appels cochons pour récupérer leur correcteur d'épreuves, tout ça pour aboutir dans le loft des créatifs publicitaires; [...]; les journalistes sportifs n'auraient d'yeux que pour les pancartes de stationnement, [...], les avocates abandonneraient leur carrière pour conseiller aux gens le sens dans lequel orienter leur lave-vaisselle, [...] oui, tout cela se mélangerait dans un seul et même bouillon existentiel, et que sais-je encore?»
J'en ai sauté des bouts, car évidemment, je ne veux pas vous voler tout le punch ! Ce roman est génial, car sous son apparence légère et humoristique, se trouve un contenu qui porte à réfléchir. Bref, pour moi, c'est la version Québécoise de Bridget Jones, mais avec une morale derrière !
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