«Ce premier volet de la trilogie Les Filles de Caleb nous fait connaître une héroïne forte et passionnée, Émilie Bordeleau, dont nous suivons le destin de 1892 à 1946.
Institutrice dans une humble école de rang de Saint-Tite, Émilie s'éprend d'un de ses élèves, Ovila Pronovost, à qui elle finit par unir sa vie, pour le meilleur et pour le pire.
Les amours d'Ovila et de sa «belle brume», Émilie, les défis de leur vie commune rythmée par les naissances, les décès et de trop longues séparations, enfin leur ultime tentative de se rapprocher alors qu'ils s'installent dans la ville industrieuse de Shawinigan, voilà ce qui nous est raconté dans ce roman qui n'a cessé d'embraser l'imagination des lecteurs depuis bientôt deux décennies.»
Institutrice dans une humble école de rang de Saint-Tite, Émilie s'éprend d'un de ses élèves, Ovila Pronovost, à qui elle finit par unir sa vie, pour le meilleur et pour le pire.
Les amours d'Ovila et de sa «belle brume», Émilie, les défis de leur vie commune rythmée par les naissances, les décès et de trop longues séparations, enfin leur ultime tentative de se rapprocher alors qu'ils s'installent dans la ville industrieuse de Shawinigan, voilà ce qui nous est raconté dans ce roman qui n'a cessé d'embraser l'imagination des lecteurs depuis bientôt deux décennies.»
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Un soir, je devais veiller. Veiller pour essayer de m'habituer à passer la nuit debout, parce que le lendemain je travaillais de nuit. L'ennui, c'était que j'étais si fatiguée et épuisée qu'à 8h30 je cognais des clous. Je cherchais désespérément quelque chose à faire, quelque chose à lire qui me tiendrait éveillée. J'ai alors songé à ces nuits deux nuits blanches que j'avais passées à lire les Filles de Caleb quand j'étais plus jeune. Oui, c'était le roman idéal pour me tenir éveillée une bonne partie de la nuit. Enfin, je l'espérais. La magie a encore opéré, mais malheureusement elle ne m'a pas empêchée de dormir cette-nuit là. C'est au prix d'irrésistibles efforts que je ne me suis pas endormie à minuit. Je vous jure que moins de trente secondes après avoir éteint la lumière, je dormais. Profondément.
Mais cela n'enlève absolument rien au roman d'Arlette Cousture. Il est magnifique, troublant, triste et joyeux en même temps. Les événements et les émotions se succèdent un à un sans transition. Dans les filles de Caleb, pas de descriptions inutiles, non tout s'enchaîne et s'imbrique parfaitement. C'est un très beau roman d'amour, mais tout à fait réaliste et convaincant. Le couple vit son lot de malheurs, mais malgré tout ils s'aiment. C'est vraiment très touchant. Si jamais vous n'avez ni lus les livres ni vu la télésérie, grouillez vos fesses, c'est un classique québécois à ne pas manquer !
Quant à moi, je vais lire la suite aussitôt que je le peux. Mais là j'ai deux autres livres en route et cinq livres de bibliothèque à lire, sans compter toutes mes lectures pour l'université. Autant dire que ça n'ira pas avant des mois ! Mais au moins j'ai recommencé la série. Il y a quelques années, je ne savais pas qu'il y avait un troisième tome, l'abandon de la mésange. Là, il attend sagement sur ma tablette d'être lu. Mais avant, j'ai tant à lire ! Dommage !
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