Âge : à partir de 8 ans environ
Éditions : Glénat, 2011
48 pages
Quatrième de couverture :
Le Grand Nord est ce que notre imaginaire d'enfant connaît de plus blanc et de plus préservé. Ses paysages de glace à perte de vue s'impriment pour toujours dans le souvenir du voyageur qui s'y aventure. Le silence y règne, et nul ne peut soupçonner la vie intense qui s'y déroule... Pour la première fois, Ushuaia marche sur ce continent flottant et fragile...
C'est dans ce contexte que Nicolas Hulot et son équipe plantent le décor de leur tournage en plein cur du Nunavut, le pays des «Inuits au bout de la terre», là où vivent les ours blancs. C'est cet animal emblématique, menacé par la fonte de la banquise et les chasseurs contrebandiers soviétiques, que Nicolas Hulot va défendre au péril de sa vie.
C'est dans ce contexte que Nicolas Hulot et son équipe plantent le décor de leur tournage en plein cur du Nunavut, le pays des «Inuits au bout de la terre», là où vivent les ours blancs. C'est cet animal emblématique, menacé par la fonte de la banquise et les chasseurs contrebandiers soviétiques, que Nicolas Hulot va défendre au péril de sa vie.
Mon commentaire :
Apparemment, je ne suis pas seule à penser à Tintin lorsque je lis les bandes dessinées de Ushuaïa. L'étiquette sur cette image du deuxième tome de la série le dit explicitement : Nicolas Hulot est le Tintin moderne.
Tout dans cette bande dessinée me prédestinait à adorer l'histoire. Il se passe dans mon pays, au Canada, et dans l'un des territoires du nord où on ne trouve que du froid en hiver et des mouches en été, le Nunavut. Ceux qui me connaissent en tant que voyageuse savent que j'ai une affection particulière pour les pays nordiques et les grands espaces. Le moins ils ont été explorés, le mieux c'est. Et, aussi paradoxal que cela puisse paraître, le nord du mon propre pays représente le summum de l'inaccessible. J'ai donc apprécié mon immersion dans le monde des inuits, assez réaliste pour une bande dessinée il me semble, mis à part que ceux-ci ne parlent pas français comme dans l'histoire. Il y est aussi question de l'importance de l'ours polaire dans les croyances inuit et du braconnage de ceux-ci. Malheureusement, pour des raisons sur lesquelles je n'arrive pas à mettre le doigt, je n'ai pas autant apprécié ce tome-ci que celui se déroulant sur l'île de Pâques. Je l'ai trouvé un peu long, et je m'ennuyais légèrement par bouts. Je me reprendrai tout de même avec le troisième tome de cette superbe série de bandes dessinées aussitôt que possible.
Tout dans cette bande dessinée me prédestinait à adorer l'histoire. Il se passe dans mon pays, au Canada, et dans l'un des territoires du nord où on ne trouve que du froid en hiver et des mouches en été, le Nunavut. Ceux qui me connaissent en tant que voyageuse savent que j'ai une affection particulière pour les pays nordiques et les grands espaces. Le moins ils ont été explorés, le mieux c'est. Et, aussi paradoxal que cela puisse paraître, le nord du mon propre pays représente le summum de l'inaccessible. J'ai donc apprécié mon immersion dans le monde des inuits, assez réaliste pour une bande dessinée il me semble, mis à part que ceux-ci ne parlent pas français comme dans l'histoire. Il y est aussi question de l'importance de l'ours polaire dans les croyances inuit et du braconnage de ceux-ci. Malheureusement, pour des raisons sur lesquelles je n'arrive pas à mettre le doigt, je n'ai pas autant apprécié ce tome-ci que celui se déroulant sur l'île de Pâques. Je l'ai trouvé un peu long, et je m'ennuyais légèrement par bouts. Je me reprendrai tout de même avec le troisième tome de cette superbe série de bandes dessinées aussitôt que possible.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire