Âge : À partir de 8 ans environ
Éditions de la Bagnole
Collection Gazoline
103 pages
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Résumé de l'éditeur :
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Le soir du 24 décembre, Rom et Nat guettent le père Noël avec impatience. Le vieil homme surgit dans la cheminée, comme prévu. Mais il n'est plus le même... D'ailleurs, il n'est pas le seul : le lapin de Pâques et la fée des dents sont aussi devenus bien inquiétants. Que se passe-t-il donc ? Rom et Nat résoudront ce mystère en plongeant dans une aventure pleine de surprises... et de frissons.
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Mon commentaire :
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Quand pour la première fois j'ai entendu que Patrick Sénécal écrivait aussi des romans jeunesse depuis quelques temps, je me suis dit : « Ben voyons donc ! ». J'avais bien du mal à le croire, et j'imaginais les enfants se réveiller au beau milieu de la nuit pour demander à leurs parents de dormir avec eux.
C'est que j'avais sous-estimé Sénécal ! Avec Sept comme Setteur, il nous livre certes un roman d'épouvante, mais extrêmement bien dosé pour le public auquel il s'adresse.
Bon. Il est certain que pour des enfants, le père Noël, la fée des dents et le lapin de Pâques qui deviennent soudainement des kidnappeurs d'enfants, ce n'est pas rassurant. Mais l'histoire est très bien imaginée et bien sûr, la fin est heureuse.
Ce que j'ai trouvé le plus intéressant, en fait, c'est que les personnages du roman ont les noms des membres de la famille de l'auteur. En effet, Patrick Sénécal a écrit ce roman pour ses enfants, parce que ceux-ci voulaient lire ses romans. Bien entendu, faire lire ses romans d'horreur à ses jeunes enfants n'était pas exactement la meilleure idée qui soit, alors il s'est mis à écrire des histoires pour ses enfants.
En plus d'être ma première expérience de Patrick Sénécal en tant qu'auteur de romans jeunesse, Sept comme Setteur aura été ma chance de découvrir les romans des éditions la Bagnole, collection Gazoline. J'adore les illustrations de leurs couvertures, et je trouve qu'ils sont extrêmement bien faits. On retrouve aussi de nombreuses notes en bas de page donnant une définition courte et simple des mots qui peuvent être les plus difficiles pour les lecteurs débutants. Finalement, il y a à la fin du roman un dossier appelé Gazoline dans lequel on retrouve de nombreux extras : biographie de l'auteur, définition d'un roman d'épouvante, l'art du dialogue et du dénouement, légende du bonhomme Sept Heures, etc.
Bref, je pense bien que c'est un éditeur que je me ferai un grand plaisir de découvrir dans les prochaines années !
6 commentaires:
Ce que j'adore des Éditions La Bagnole, c'est justement qu'il incite les auteurs à écrire dans des genres pour lesquels ils ne sont pas habitués.
J'avais aussi apprécié Sept comme Setteur ainsi que ça suite que j'ai lu plus récemment (Madame Wenham)
Sunflo : Oui, cette maison d'édition est vraiment très bien.
Je suis justement en train de lire Madame Wenham, et j'aime beaucoup, même plus que Sept comme Setteur !
J'ai beaucoup aimé aussi. C'est, comme tu dis, vraiment bien dosé.
Effectivement, en tout cas beaucoup mieux dosé que me l'a laissé entendre une de mes collègues qui étudie en enseignement avec moi !
samuel 8 ans jai beaucoup aimer votre histoire parce-que jai vus des mots que je conais pas alors jai aprie des nouveaux mots. et je vais acheter votre livre madame wenham.javais vus vos deux livres a lécole,jai tellement aimer votre livre que je me suis dit que jalai lacheté.vous ètre un très bonne auteure... le mardi 22 novenbre 2011
@ Samuel : Merci beaucoup de ton commentaire. Je ne suis pas l'auteur de Sept comme Setteur, c'est Patrick Sénécal. Si tu veux communiquer avec lui, il faut aller sur son site officiel. Tu n'as qu'à copier l'adresse suivante : http://patricksenecal.net/
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