Éditions : Albin Michel, 2004
441 pages
Quatrième de couverture :
Soirée de gala et de retrouvailles à Cornwall, dans le comté de New York : les anciens élèves de la Stonecroft Academy fêtent le vingtième anniversaire de la création de leur club. Parmi les invités d'honneur, l'éminente historienne Jean Sheridan, qui retrouve sa ville natale.
Mais le sourire de Jean ne parvient pas à cacher sa tension: elle vient de recevoir des menaces à l'encontre de sa fille. Et lorsqu'elle apprend qu'une des anciennes étudiantes de Stonecroft vient d'être retrouvée noyée dans sa piscine, cinquième élève à succomber à un décès brutal et mystérieux, sa peur redouble. D'autant qu'autour du buffet, les langues se délient et le passé refait surface. Le spectre d'une jeune femme assassinée des années auparavant dans d'étranges circonstances rôde. Et si l'assassin était parmi les invités?
Mais le sourire de Jean ne parvient pas à cacher sa tension: elle vient de recevoir des menaces à l'encontre de sa fille. Et lorsqu'elle apprend qu'une des anciennes étudiantes de Stonecroft vient d'être retrouvée noyée dans sa piscine, cinquième élève à succomber à un décès brutal et mystérieux, sa peur redouble. D'autant qu'autour du buffet, les langues se délient et le passé refait surface. Le spectre d'une jeune femme assassinée des années auparavant dans d'étranges circonstances rôde. Et si l'assassin était parmi les invités?
Mon commentaire :
Inutile d'insister sur l'histoire, la quatrième de couverture la résume très bien, sans trop en révéler d'ailleurs. Je me contenterai donc de dire ce que j'en ai pensé.
Comme plusieurs opus de cette auteure, La nuit est mon royaume se lit bien et est assez accrocheur pour me faire persister dans ma lecture, mais il est loin d'être inoubliable.
Dès le début de l'histoire, Mary Higgins Clark s'applique à diriger les soupçons sur tous les hommes lauréats du gala des retrouvailles, brouillant les pistes permettant d'identifier le véritable auteur des crimes. On se doute aussi que toutes les histoires sont liées, mais on ne sait pas comment, alors qu'en vérité la réponse est plutôt simple.
Ce qui m'a agacé, c'est que l'auteure s'appliquait tellement à diriger les soupçons vers un seul homme qu'on sait rapidement qu'il ne peut pas s'agir de lui. Ce serait trop facile. Les moyens qu'elle utilise sont donc un peu trop évidents, ce qui ne manque pas de m'irriter.
Malgré tout, je n'ai pas deviné qui était le meurtrier, et c'est le fait de ne pas savoir qui m'a tenue en haleine jusqu'à la fin. Ce n'est définitivement pas le meilleur de l'auteure, mais ce n'est pas mauvais non plus.