655 pages
Quatrième de couverture :
Janvier 1916. Stupéfaction dans le village de Val-Jalbert ! Une religieuse découvre un bébé abandonné dans un ballot de fourrures, sur le perron enneigé du couvent-école.
D'où vient ce poupon aux yeux si bleus, qui porte le nom de Marie-Hermine, comme en témoigne une courte lettre cachée dans ses vêtements ?
L'enfant sera élevée et instuite par les soeurs du Bon-Conseil et souvent confiée à une jeune voisine, Élisabeth Marois. Dotée d'une voix exceptionnelle, au fil des années, l'orpheline gagne la surnom de « rossignol des neiges ». Grâce à son talent, elle fera la fierté du village ouvrier pourtant condamné à l'abandon.
Mon commentaire :
Un roman se déroulant à Val-Jalbert, village fantôme du Lac Saint-Jean tout près du chalet familial de mon enfance ne pouvait que me plaire. Surtout que le roman débute dans les années 1910 et qu'il y est question d'une orpheline, un sujet qui me touche beaucoup en général. En plus, il y est question d'Amérindiens et de la nature, des sujets qui me passionnent toujours.
Alors, pas de surprise, j'ai beaucoup aimé L'enfant des neiges. Par contre, je n'ai pas du tout aimé l'écriture qui tout au long de l'histoire, n'a cessé de me déranger.
D'abord, il faut savoir qu'il s'agit d'une histoire se passant au Québec, dont les personnages sont Québecois mais dont l'auteure est Française. Forcément, en essayant de rendre ses personnages trop Québécois, l'auteure a émis quelques maladresses. Le plus souvent, ce sont des expressions ou des jurons québécois qui sonnent faux à l'endroit où ils sont placés.
J'ai aussi trouvé l'écriture un peu simpliste, et les fils de l'histoire étaient beaucoup trop tirés par les cheveux. Parfois trop, c'est pire que pas assez. C'est un peu ce que j'ai ressenti en lisant l'histoire.
Malgré cela, j'ai passé un bon moment en compagnie d'Hermine, l'orpheline à la voix d'or. À découvrir pour les amants de la nature québécoise et pour les amateurs de romances historiques uniquement.
2 commentaires:
Hum, cette série ne m'intéresse pas vraiment surtout si c'est simplet. De plus, comme ici et ailleurs, j'ai lu que l'auteure use d'expressions québécoises sans vraiment en connaître les vraies significations. Je passe mon tour c'est certain..
@Suzan : ... Tu passes ton tour et tu n'en mourras certainement pas !
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