samedi 17 mars 2012

Farenheit 451



Titre original : Farenheit 451
Première édition : 1953
Mon édition : Gallimard, 1955
Collection : 1000 soleils
160 pages

Résumé (pris sur Babelio):

451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume. Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif.
Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.

Né en 1920, Ray Bradbury s'impose à la fin des années 40 comme un écrivain majeur, avec la parution d'une série de nouvelles oniriques et mélancoliques, plus tard réunies sous le titre de Chroniques martiennes. Publié en 1953, Fahrenheit 451, qui finit d'asseoir la réputation mondiale de l'auteur, sera porté à l'écran par François Truffaut.

Mon commentaire :

Farenheit 451 est un grand classique de la science fiction que j'ai longtemps négligé de lire en raison de mon manque général d'attrait pour ce type de littérature. Toutefois, comme j'ai il y a maintenant bien deux ans de cela pris la résolution de m'initier à ce type de littérature, et comme je n'ai pas trop bien saisi ma chance jusqu'à maintenant, j'ai décidé de l'emprunter à la bibliothèque la dernière fois que j'y suis allée.
Farenheit 451 décrit un monde totalement horrible et inconcevable pour tout lecteur qui se respecte. Je savais déjà que le personnage principal de l'histoire brûlerait des livres, bien sûr, mais malgré cela l'idée de faire disparaître toute la littérature et toutes les connaissances contenues dans les livres me donnait des frissons. Le fait qu'on veuille manipuler les gens à ce point me rebutait aussi, mais en même temps, je me rendait compte que la publicité dont nous sommes entourés est une forme de manipulation similaire, quoique moins importante. Bref, l'idée derrière l'histoire était géniale, mais l'écriture l'est un peu moins.
J'ai trouvé que malheureusement, l'intrigue souffrait de quelques longueurs et que les idées de l'auteur manquaient parfois de netteté dans la façon dont elles étaient écrites.
J'ai tout de même passé un agréable moment en compagnie de Montag. Je ne regrette pas du tout d'avoir enfin lu ce classique ! Je pourrai en parler, maintenant !

9/26

2/11

2/3

4 commentaires:

Karine:) a dit…

Je l'avais pour ma part beaucoup aimé... je m'attendais à un truc super daté mais non, pas du tout... bref, comme toi, j'ai été contente de cette lecture, sauf que j'ai été moins dérangée par les longueurs.

Isa a dit…

@ Karine:) : Avec le recul, j'ai l'impression que c'est plus le fait que je l'ai lu par petits coups qui m'a donné une impression de longueur... En tout cas, j'ai beaucoup aimé l'idée !

Enigma a dit…

Je garde un bon souvenir de ce roman, je te laisse ma chronique si tu veux y jeter un coup d'oeil =)
http://metamorphoselivresque.blogspot.fr/2012/03/fahrenheit-451.html

Isa a dit…

Enigma : Merci, je viens d'aller la lire et de poster un commentaire !