186 pages
Quatrième de couverture :
Qui est givrée ?
Est-ce Marie l'effrontée que le sexe ennuie ?
Est-ce l'histoire de cette accumulation de réfrigérateurs ?
Ou notre époque de communication qui, à force de mensonges, a terrassé le sens commun ?
Mon commentaire :
La façon dont je suis tombée sur ce livre est tout à fait comique. J'étais à la bibliothèque, où je devais prendre un livre d'Amélie Nothomb pour mon challenge ABC, et je ne sais pas trop comment, c'est celui-ci que j'ai pris à la place, sans même m'en apercevoir. Ce n'est que rendue à la maison que j'ai constaté mon erreur.
Malgré la couverture qui fait très années 60-70 et un titre définitivement bizarre, le résumé m'a intriguée. Je me demandais bien de quelle sorte de roman il pouvait bien s'agir. J'ai donc décidé de le lire. Lorsque j'ai voulu l'ajouter à ma liste à lire, j'ai eu la surprise de l'y trouver déjà ! Je n'ai absolument aucun souvenir d'avoir lu une critique sur ce livre ou même d'en avoir entendu parler, ce qui est la preuve absolue qu'il y a beaucoup trop de livres dans cette liste. Mais passons.
Givrée a donc plutôt été une agréable surprise pour moi. L'histoire ne fait absolument aucun sens, c'est complètement absurde. Cette histoire d'accumulation de réfrigérateurs dans l'appartement de Marie est vraiment saugrenue. J'ai beaucoup souri.
Malheureusement, j'ai trouvé que l'histoire allait beaucoup trop loin, qu'il y avait trop de répétitions et que l'histoire s'essouffle vers la fin. Comment faire autrement ? On ne peut pas desserter pendant des heures et des heures sur les réfrigérateurs. N'empêche que j'ai passé un bon moment avec cette lecture tout ce qu'il y a de plus original. C'est un livre qui se lit rapidement, l'idéal pour se changer les idées entre deux bonnes briques.
19/26
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