«-Vous avez besoin d'aide ? Vos sacs ont l'air très lourds. Ce n'est pas bon pour le bébé...
Dallas, 11h45. Pour échapper à la canicule de l'été texan, Didi Wood, enceinte de près de neuf mois, s'est accordé quelques instants de shopping au centre commercial de North Parks.
Elle pourrait accepter l'offre de l'inconnu, un jeune homme fort aimable. Un peu insistant, peut-être. Elle refuse. Et comprend aussitôt qu'elle n'aurait pas dû. Il ne faut pas contrarier les bonnes volontés. Cet homme-là est prêt à tout pour l'aider. Y compris à user de violence.
13h45. Depuis bientôt une heure, Richard Wood attend sa femme au restaurant. Bizarre, ce retard... Didi a toujours été ponctuelle, comme son père. Serait-elle en danger ?
Pour Richard Wood, le compte à rebours a commencé. Il lui reste onze heures. Et deux vies à sauver: celle de sa femme, et celle de leur bébé.»
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De Paullina Simons, j'avais déjà lu «Tatiana» et «Tatiana et Alexandre», une histoire romantique et historique qui m'a boulversée comme peu d'histoire l'ont fait auparavant. J'en ai gardé un très bon souvenir. Je ne savais pas trop quoi penser quand j'ai vu «Onze heures à vivre». Un thriller ? Un enlèvement ? Aux États-Unis ? Est-ce vraiment la même auteure ?
Il paraît que oui. Pourtant les histoires de Tatiana et celle de Didi n'ont absolument rien en commun. Rien du tout.
Alors comment une auteure peut-être être aussi douée dans les histoires d'amour que dans les thrillers ?!? Ça me dépasse. J'en ai lu et j'en ai vu, des histoires d'enlèvement. Celle-ci est définitivement parmi les meilleures que j'ai lues. L'héroïne étant enceinte et près d'accoucher, on devine dès le début ce qui va arriver. Mais on espère... vainement.
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***Autres livres lus de Paullina Simons***
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