Âge : 12 ans et plus
Éditions : AdA, 2012
382 pages
Quatrième de couverture :
Mon nom est Rose MacEwan. Nous sommes en l'an 1682. Ce n'est pas une bonne époque pour les sorcières. Et encore moins pour les Wodebayne.
À présent que j'ai trouvé mon âme soeur, je me sens presque en sécurité. Je ferai tout en mon pouvoir pour le garder.
Je plains la sorcière qui essaiera de se dresser entre moi et mon grand amour.
Mon commentaire :
C'est fou ce que les livres qu'on lit peuvent avoir des liens entre eux sans que ce soit intentionnel de notre part ! J'ai lu ce livre immédiatement après Une épine dans le coeur et je retrouve de nombreux éléments communs : un personnage important du nom de Rose, l'Écosse, le passé, le triangle amoureux. Vous me direz sans doute que Sorcière est une saga et que rendu au onzième tome, je devais bien me douter que les deux romans auraient bien des points en commun.
Et bien non, puisqu'avec ce onzième tome, Cate Tiernan m'a totalement surprise en présentant l'histoire de Rose, l'ancêtre de Morgane, l'héroïne de la saga. On passe donc du vingt-et-unième siècle au dix-septième, des États-Unis aux Highlands d'Écosse.
Quel bon «move» de la part de l'auteur ! Au neuvième tome, je trouvais que la série commençait drôlement à s'essoufler. Puis au dixième, surprise ! Hunter devient le narrateur. Au onzième, double surprise ! On retourne chez les ancêtres de Morgane.
À mon avis, bien personnel et bien entendu partial (il s'agit tout de même de l'Écosse...), il s'agit du meilleur tome de la série. Il est beaucoup plus mature, moins adolescent. J'ai eu beaucoup de plaisir à découvrir l'histoire de Rose ainsi que les origines de la fameuse vague sombre dont on parle depuis le début de la série.
Mon enthousiasme est de retour, vive le douzième tome !
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