dimanche 16 mars 2014

Aurélie Laflamme, tome 4 : Le monde à l'envers

Quatrième de couverture :
 
Un vent de changement souffle dans la vie d'Aurélie Laflamme. Son école privée-de-filles-avec-uniforme ayant fermé, elle se voit contrainte (après avoir perdu un féroce combat de roche-papier-ciseaux contre sa meilleure amie Kat) de fréquenter une école publique-sans-uniforme-et-remplie-de-garçons.
Aurélie est désormais prise avec un problème quotidien et apparemment insoluble, dont elle n'avait jamais mesuré la portée auparavant : quoi porter ce matin ? (Horreur!) Après tout, elle devra être en possession de tous ses moyens pour affronter sa plus récente pire ennemie, qui ne sait même pas qu'elle a acquis ce statut peu enviable : la nouvelle blonde de son ex-amoureux, Nicolas.
Comme si ce n'était pas assez, sa mère semble souffrir d'une maladie étrange qui l'oblige à parler à la première personne du pluriel, et son chum François (alias Satan réincarné) est de plus en plus envahissant, ce qui devient tout à fait insupportable.
Pendant que le climat de la planète se déchaîne, les émotions d'Aurélie menacent aussi d'exploser.
 
Mon commentaire :
 
Ça faisait un bon bout que je n'avais pas lu de livres de la série d'Aurélie Laflamme, et voici que j'en lis deux de suite !
 
Dans le quatrième tome de la série, Aurélie se voit contrainte, pour son secondaire 4, de changer d'école. Comme l'explique la quatrième de couverture, elle doit donc fréquenter une école que fréquentent aussi des garçons, ce qui est quasi inconcevable pour elle. Et que dire du fait qu'elle ne doit plus porter d'uniforme et choisir les vêtements qu'elle va porter CHAQUE matin ? L'horreur !
 
J'ai été heureuse de retrouver l'Aurélie Laflamme que j'ai connue dans les autres tomes, une adolescente vivante, maladroite, drôle, douée et rafraîchissante. Sa façon d'écrire son journal me donne souvent des fous rire. Elle abuse des ! et des parenthèse, mais elle en est très consciente et c'est ce qui fait son charme. De toute évidence, Aurélie (et India Desjardins) aime(nt) jouer avec les mots et avec la langue française.
 
Même si ce n'est pas le tome le plus palpitant au niveau de l'action, j'ai eu énormément de plaisir à retrouver cette héroïne adolescente. Aurélie me rappelle moi-même à l'adolescence. De toute évidence, l'auteure se rappelle très bien ce que c'est que d'être une adolescente, et c'est sans doute ce qui a donné à cette série tout son succès.
 

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