Titre original : The Lord of the Rings
Christian Bourgeois éditeur, 2002
Collection : Pocket
697 pages
Quatrième de couverture :
Aux temps reculés qu'évoque le récit, la Terre est peuplée d'innombrables créatures étranges. Les Hobbits, apparentés à l'Homme, mais proches également des Elfes et des Nains, vivent en paix au nord-ouest de l'Ancien Monde, dans la Comté. Paix précaire et menacée, cependant, depuis que Bilbon Saquet a dérobé au monstre Gollum l'Anneau de Puissance jadis forgé par Sauron de Mordor. Car cet anneau est doté d'un pouvoir immense et maléfique. Il permet à son détenteur de se rendre invisible et lui confère une autorité sans limites sur les possesseurs des autres Anneaux. Bref, il fait de lui le Maître du Monde. C'est pourquoi Sauron s'est juré de reconquérir l'Anneau par tous les moyens. Déjà ses Cavaliers Noirs rôdent aux frontières de la Comté.
Mon commentaire :
C'est plus d'une dizaine d'années après la sortie du premier film de la trilogie Le Seigneur des Anneaux que je me décide enfin à lire les livres, qui pourtant trônaient bien en évidence dans ma bibliothèque. Je ne sais pas trop ce qui m'a retenue de les lire (probablement la longueur et surtout la densité de l'histoire), mais rien ne m'a motivée à ouvrir ce livre avant il y a environ un mois.
Ce n'est pas les films du Hobbit récemment parus qui m'ont convaincue d'en commencer la lecture, mais bien mon départ prochain pour la Nouvelle-Zélande en juillet. Je croyais que cela allait me motiver, mais en vérité, ma lecture a été lente et parsemée d'embûches. Je reconnais toutefois tout le talent de J.R.R Tolkien. Le monde qu'il a créé est extraordinaire et complexe, un monde tel que je n'en ai pas encore vu dans mes lectures (peu nombreuses, il faut l'avouer) de fantasy. Ce n'est pas le manque de talent qui a nui à ma lecture, mais plutôt, tel que je le craignais, la densité de l'histoire et sa progression à pas de tortues. De plus, malgré tous mes efforts, je n'ai pas réussi à m'identifier à aucun des personnages, ce qui donne toujours un sérieux coup de main pour apprécier une histoire. Tout le monde dit que ça ne va qu'en s'améliorant, alors espérons-le, car malgré toute ma bonne volonté, je risque de ne pas en arriver à bout, du moins avant mon départ.