vendredi 24 septembre 2010

Down Under (V.F. Nos voisins du dessous chroniques australiennes)

Version française :
Nos voisins du dessous chroniques australiennes
Résumé de l'édition française :
L'Australie n'est pas seulement célèbre pour ses kangourous, ses drag-queens et ses surfeurs. On y trouve aussi les bestioles les plus voraces et venimeuses du globe, des déserts où mieux vaut ne pas s'aventurer pour un petit besoin, et puis de drôles de gens persuadés que vous les prenez pour des ploucs du bout des antipodes. Bill Bryson, l'illustre auteur chez Payot de Motel Blues et American Rigolos, aimerait ressembler à Indiana Jones plutôt qu'à Mister Bean. Le voici donc surarmé de courage pour sillonner l'Australie et en aborder les thèmes les plus divers: sa flore, sa faune et sa population, mais aussi l'histoire très singulière de son exploration et de sa colonisation, sans oublier la " question aborigène ", car si une plume aussi caustique traite d'un sujet aussi grave, c'est pour mieux nous en révéler toutes les aberrations.
*****
Mon commentaire :
J'aimerais commencer en remerciant mon amie Vesna pour ce prêt. Avec un Bill Bryson, tu ne pouvais tout simplement pas te tromper !
De Bryson, j'ai déjà lu American Rigolos : Chroniques d'un grand pays, un recueil de chroniques auto-dérisoire sur le ridicule des Américains et de leur nation et Une histoire de tout, ou presque... une encyclopédie vulgarisée et humoristique qui parle de tout... ou presque, justement.
J'ai donc pas pu m'empêcher de le lire aussitôt que je l'ai reçu, mettant ainsi de côté une autre excellente lecture, pour retrouver l'écriture à la fois ironique et humoristique de cet Américain déraciné (il partage sa vie entre les États-Unis et l'Angleterre, et voyage également beaucoup, notamment en Australie).
Que dire de plus que j'ai adoré ? Comme d'habitude, j'ai appris une tonne de choses, j'ai souri, j'ai ri, et j'ai tourné chaque page dans une sorte de transe, ne pouvant plus attendre de découvrir ce qui se passerait après.
On sent tout l'amour, toute l'admiration, et aussi toute la crainte que l'Australie suscite en Bill Bryson. Il ne cesse d'en vanter ses qualités, tout comme sa dangerosité et sa grandeur. Mais ne vous attendez pas qu'à entendre du positif. Oh non ! Bryson déteste les longues heures de route ennuyeuses et Canberra, la capitale du pays.
En tout cas, ce qui est certain, c'est qu'après avoir lu son livre, vous voudrez vous ruer à l'aéroport pour partir à destination de l'Australie dans les plus brefs délais !
Autres livres de Bill Bryson que j'ai lus:

4 commentaires:

Vesna a dit…

How do you say "You're welcome" in French? I forgot.
Is it "Je vous en prie"? I have no idea but that's the only thing that comes to my mind at the moment. :)

Isa a dit…

«Je vous en prie» is right, although it is a very polite way to say «you're welcomed». You have many other options : «bienvenue !» ; «tu es la bienvenue !» «de rien !» or «ça fait plaisir !».

Vesna a dit…

Ok: De rien, Isabelle!

PS: Je suis on page 200 avec Le ciel croule! C'est tres interessant, je ne pouvais pas m'arreter. =)

Isa a dit…

:) Je suis vraiment contente !