Titre original : An Echo in the Bone
Éditions : Libre expression, 2010
Paru en anglais en 2009
728 pages
Quatrième de couverture :
Juillet 1776. Le Congrès continental vient de ratifier la Déclaration d'indépendance de Thomas Jefferson. À Fraser's Ridge, Claire et Jamie Fraser ont vu leur demeure réduite en cendres et leur petite communauté décimée. La mort dans l'âme, ils reprennent la route.
Pendant ce temps, William, comte d'Ellesmere et fils adoptif de lord Grey, débarque dans les colonies avec les armées envoyées par Sa Majesté pour écraser l'insurrection. À Long Island, le capitaine Richardson lui propose d'accompagner un officier supérieur en mission au Canada. De Québec, William suit la défaite des troupes rebelles du colonel Arnold, écrasées par celles de sir Guy Carleton, gouverneur du Canada.
À l'aube des grandes batailles qui scelleront le destin d'une nation naissante, la gloire à laquelle aspire William pourrait bien se retourner contre lui en le mettant face à une vérité que tous redoutent. Claire et Jamie, quant à eux, continuent de correspondre avec Brianna et Roger sans trop savoir si ceux-ci arriveront à les lire, aussi loin qu'ils se trouvent...
Mon commentaire :
À l'heure où plusieurs personnes découvrent avec fascination Jamie et Claire grâce aux débuts fracassants de la série de télévision Outlander, je me remets à ma lecture que j'ai débutée il y a quelques années déjà. Me voici rendue au tome 9, alors que les personnages principaux ont depuis longtemps quitté l'Écosse pour les colonies.
Après quelques tomes plus lents et surtout moins captivants, voilà deux tomes que je lis plus rapidement. L'histoire reprend tranquillement son rythme initial. Après le huitième tome, qui laissait entrevoir un retour de l'action plus soutenue, j'espérais que cela ne serait pas qu'un feu de paille. Je suis heureuse de constater que c'en était pas un. S'il est un signe indéniable que j'ai apprécié, c'est sans doute la vitesse à laquelle je l'ai lu. Je n'ai pris qu'une semaine à le lire, ce qui n'est pas rien vu que le livre comporte plus de 700 pages et que je ne pouvais que lire les soirs...
Il y a un seul bémol à mon avis, et ce sont les aventures de William, le fils illégitime de Jamie. J'ai trouvé son rôle dans l'armée loyaliste difficile à comprendre, ainsi que ses missions qui l'ont amené entre autres au Canada. Ces passages étaient beaucoup plus ardus et demandaient que l'on s'y attarde plus longuement, car j'ai la forte impression que ces missions et surtout le personnage prendront de plus en plus d'importance pendant les tomes suivants.
Si William et Ian prennent de plus en plus de place dans l'histoire, Brianna et Roger en prennent beaucoup moins que dans les tomes précédents, sans doute parce qu'ils ne vivent plus avec les protagonistes. Claire et Jamie prennent aussi moins de place, mais tout de même assez pour que mon intérêt demeure soutenu.
La fin du tome ne ressemble aucunement une fin. Rien ne laissait envisager que l'histoire s'arrêterait à ce moment, mis à part le nombre de pages restant. Étrangement, cela donne envie de se précipiter sur la prochaine partie... que je n'ai pas en ma possession. Ce sera pour plus tard, donc...
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