dimanche 9 septembre 2012

In Spite of Killer Bees

Titre français : je n'ai trouvé aucune traduction pour ce livre.
Éditions : Tundra Books, 2002
253 pages

Quatrième de couverture :

" You're not in the real world. You know ? You think nothing bad will ever happen. You think you're walking around in some kind of movie version of your life, where you can just goof off any way you like and the director ot cameraman or scripwriter will make the appropriate changes and everything will be all right. Do you know that about yourself ? When are you going to wake up, Aggie ? "

Mon résumé :  

Aggie (14 ans), Jeannie (18 ans) et Helen (20 ans), sont trois soeurs orphelines de père. Leur mère, quant à elle, a disparu de leurs vie depuis des années. Lorsqu'à la mort de leur grand-père riche elles héritent de sa vieille maison ancestrale, elles déménagent dans une petite ville où il ne se passe pas grand chose. Elles devront convaincre leur vieille grande-tante à venir habiter avec elles si elles veulent recevoir le reste de leur héritage. Mais la tâche ne sera pas si facile qu'il n'y paraît. Et en attendant, les trois filles devront s'intégrer et se trouver un travail dans une ville où leur père avait très mauvaise réputation. Pas facile, la vie pour ces trois adolescentes !

Mon commentaire :

Ce livre m'a été recommandé il y a quelques années par Vesna, ma correspondante Slovénienne. J'ai eu bien du mal à le dénicher ! Après de multiples recherches, j'ai fini par en trouver un exemplaire usagé sur un site Internet. C'est un exemplaire ayant appartenu à la bibliothèque de la Broadview Avenue Public School à Ottawa, que je remercie, car sans eux je me demande bien comment j'aurais fait pour trouver ce livre ! C'est, drôle, quand on y pense... Mon amie Slovénienne trouve un roman canadien dans son pays alors que je peine à trouver le même livre dans le pays même où il a été écrit et édité... Enfin bref.
J'ai bien aimé l'histoire de In Spite of Killer Bees, qui, tout comme Sara la farouche, aborde le sujet des orphelins qui semble tenir à coeur à Julie Johnston. J'ai beaucoup aimé le personnage de Aggie, qui s'imagine constamment être dans un film pour fuir sa réalité difficile. Ses deux grandes soeurs sont aussi des personnages intéressants, qui doivent toutes deux combattre entre leur désir légitime de devenir indépendantes et celui de s'occuper de leur petite soeur.
Le seul défaut que je reproche à ce roman, c'est son rythme. J'ai trouvé que, pour un roman jeunesse, le rythme était plutôt lent et que plusieurs détails étaient accessoires. L'écriture au présent m'a aussi parfois agacé, mais c'est peut-être parce que je l'ai lu en français.
En résumé, In Spite of Killer Bees est une bien belle histoire que vous aurez sans doute du mal à trouver au Québec. Mais qui sait, si vous êtes en Europe, peut-être en trouverez vous un exemplaire ? Sinon, je vous suggère Sara la farouche, qui, à mon souvenir était encore meilleur.


22/26

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