Titre original : The Stand
Édition originale : 1978
Mon édidion : J'ai lu, 1990
510 pages
Quatrième de couverture :
13 juin 1990. 2 heures 37 du matin. Et 16 secondes. Dans le labo, l'horloge passe au rouge. 48 heures plus tard, l'information tombe : Contamination confirmée. Code probable souche 848- AB. Mutation antigène chez Campion. Risque élevé. Mortalité importante. Contagion estimée à 94,4%. Top secret. Dossier bleu. Ça chavire, ça bascule. La Super-Grippe, l'Étrangleuse ou le Grand Voyage commence ses ravages... Une mécanique bien huilée. Des corps sur le bord de la route. Puis des fosses dans les cimetières. Ensuite des fosses communes.
Et enfin des cadavres qu'on balance dans le Pacifique.
De Los Angeles à New-York le fléau se répand, pire que la peste. Mais est-il pire fléau que la peur qui tenaille les rares survivants, tous touchés par le même cauchemar au même instant ? L'image de l'Homme Noir....
Mon commentaire :
À part les Tommyknockers, que je n'ai pas beaucoup aimé et un autre roman de King que j'ai lu alors que j'étais encore trop jeune pour lire des romans pour adultes, je n'ai jamais lu le maître de l'horreur. J'avoue qu'après les Tommyknockers, je n'avais pas vraiment envie de le relire. Mais depuis la fin de mon secondaire, une amie me harcèle pour que je lise le Fléau. Voilà donc pourquoi j'ai emprunté les trois livres à la bibliothèque.
Mon verdict après la première partie : J'ai bien aimé, mais je trouve que ça progresse terriblement lentement et rapidement en même temps. Alors que je croyais que la majorité des trois tomes porterait sur le décès des humains suite au virus, j'ai été étonnée de constater qu'au final, cette partie de l'histoire ne prend qu'une partie du premier tome. Alors pour cela, j'ai trouvé que c'était rapide, et cela m'a un peu déçue. Commence ensuite le récit de la survie de ceux qui ne sont pas morts du virus. Et là, ça stagne. On passe d'un personnage à l'autre, d'un coin à l'autre des États-Unis, mais on a pas l'impression que ça avance véritablement. J'aurais voulu que le rythme soit plus rapide, parce qu'en plus, à partir d'un certain moment, je ne savais plus du tout où King pouvait nous mener. Et j'avoue qu'à la fin de la première partie, je ne le sais toujours pas. Mais je n'ai pas l'intention de m'arrêter là. Il doit bien y avoir une raison pour que le Fléau soit l'une des oeuvres les plus connues et les plus appréciées de King. Et puis, je dois avouer que je commence à m'attacher aux personnages et à me questionner sur ce qu'il va advenir d'eux. Cette histoire d'Homme Noir ne me plaît pas pour le moment, mais j'ai bien hâte de voir où King veut nous amener avec cela. À bientôt donc pour la suite !
14/26
25/100
2 commentaires:
C'est un fait cinnu que King prend le temps (parfois long j'admets) d'implanter ses lieux, personnages etc. C'est comme «sa marque de commerce»;-)
Ne lâche pas, «Le Fléau» livre son message et même s'il y a certaines longueurs, c'est une histoire à d.couvrir.
@ Suzanne : Oui, c'est ce que j'ai entendu aussi... Je n'ai pas l'intention de lâcher, ça c'est certain !
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