Titre original : Wilde Lupinen (traduit de l'allemand)
Paru en allemand : 1992
569 pages
Quatrième de couverture :
Allemagne 1938 : tout annonce l'orage. Mais la fille de Félicia Degnelly, la jeune Belle Lombard, se soucie peu de politique. Ses projets ambitieux ne tournent qu'autour des studios de cinéma de Berlin et de l'hypothétique homme de ses rêves.
Quant à sa mère, Félicia, elle n'a rien perdu de son sens du risque et des affaires. Toutefois, elle se lance bientôt dans des entreprises plus que dangereuses, contraires à ses intérêts, et même étrangères à ses propres convictions.
Le chaos de la guerre finira de frapper toute la famille qui se verra éparpillée. Mais ces malheurs ne viennent pas èa bout de la volonté des deux femmes qui continuent d'être les pivots des Degnelly.
Les lupins sauvages : la suite palpitante de l'histoire d'une famille de Prusse-Orientale, étroitement unie et jetée dans les convulsions de l'époque la plus tourmentée du XXe siècle.
Mon commentaire :
Ce tome est le plus réussi de la saga à mon avis, sûrement en raison de l'époque qu'il couvre, du krash boursier de 1929 à la période de l'après-guerre, et tout cela, au cœur de Berlin. On a donc, pour une rare fois, l'occasion de vivre la guerre du côté des vaincus, et de réaliser combien les allemands se sentaient impuissants face à ce qui se passait dans leur propre pays.
Les personnages demeurent toutefois toujours aussi prodigieusement agaçants. La fille de Félicia, Belle, est davantage mise en vedette dans ce livre. Elle est tout aussi égoïste et superficielle que sa mère. Sauf qu'au lieu de chercher la fortune, elle cherche à devenir une actrice de cinéma. Comme sa mère aussi, elle est tiraillée entre deux hommes, son mari disparu à la guerre et son amant de longue date. Finalement, comme sa mère, elle a aussi un bébé qui n'est probablement pas de son mari. Bref, telle mère, telle fille...
Malgré ses personnages froids, ce livre est un véritable page-turner. Je ne peux pas le nier : j'ai beaucoup aimé ma lecture.
Ce tome est le plus réussi de la saga à mon avis, sûrement en raison de l'époque qu'il couvre, du krash boursier de 1929 à la période de l'après-guerre, et tout cela, au cœur de Berlin. On a donc, pour une rare fois, l'occasion de vivre la guerre du côté des vaincus, et de réaliser combien les allemands se sentaient impuissants face à ce qui se passait dans leur propre pays.
Les personnages demeurent toutefois toujours aussi prodigieusement agaçants. La fille de Félicia, Belle, est davantage mise en vedette dans ce livre. Elle est tout aussi égoïste et superficielle que sa mère. Sauf qu'au lieu de chercher la fortune, elle cherche à devenir une actrice de cinéma. Comme sa mère aussi, elle est tiraillée entre deux hommes, son mari disparu à la guerre et son amant de longue date. Finalement, comme sa mère, elle a aussi un bébé qui n'est probablement pas de son mari. Bref, telle mère, telle fille...
Malgré ses personnages froids, ce livre est un véritable page-turner. Je ne peux pas le nier : j'ai beaucoup aimé ma lecture.
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