Éditions : Albin Michel, 2011
630 pages
Résumé (pris sur Babelio, mon édition n'en contenant pas) :
Le Dôme : personne n'y entre, personne n'en sort. À la fin de l'automne, la petite ville de Chester Mill, dans le Maine, est inexplicablement et brutalement isolée du reste du monde par un champ de force invisible. Personne ne comprend ce qu'est ce dôme transparent, d'où il vient et quand ou si il partira. L'armée semble impuissante à ouvrir un passage tandis que les ressources à l'intérieur de Chester Mill se raréfient. Big Jim Rennie, un politicien pourri jusqu'à l'os, voit tout de suite le bénéfice qu'il peut tirer de la situation, lui qui a toujours rêvé de mettre la ville sous sa coupe. Un nouvel ordre social régi par la terreur s'installe et la résistance s'organise autour de Dale Barbara, vétéran de l'Irak et chef cuistot fraîchement débarqué en ville...
Mon commentaire :
Dès le début, j'ai été prise dans cette histoire. L'idée en soi est géniale : un village du Maine isolé du reste du monde par un dôme d'origine inconnue. L'idée n'est pas tellement de trouver de quelle origine est le dôme, même si c'est un mystère qu'on a hâte de voir résolu, mais de voir comment les habitants du village vont survivre dans cet environnement où tout accès au monde extérieur est coupé ou presque.
Il se trouve quelqu'un pour profiter de n'importe quelle situation. Ici, c'est le deuxième conseiller de la ville, Jim Rennie, qui tente d'établir une sorte de dictature. Un homme pourri et corrompu jusqu'à la moelle, qu'on se plait à détester.
Les malheurs continuent de s'accumuler tout au long des 630 pages : d'abord, l'électricité, le propane qui disparaît mystérieusement, les générateurs qui arrêtent à leur tour, les provisions alimentaires qui baissent, les disparitions, les enfants qui font de mystérieuses crises d'épilepsie, l'hôpital qui n'a plus de médecins, les forces policières qui abusent de leur pouvoir, etc.
Comme souvent avec Stephen King, les personnages sont nombreux et les histoires parallèles se multiplient, pour notre plus grand plaisir.
L'écriture est fluide, si bien qu'on ne voit pas filer les nombreuses pages. Malheureusement, mon édition était pleine de fautes faciles à éviter, ce qui ne manque pas de me mettre en colère à chaque fois.
J'ai été un peu déçue de la direction que semble prendre l'histoire à la fin de cette première partie, mais qui sait, peut-être que je serai surprise? J'ai bien hâte de lire la suite, même si je ne peux pas m'y mettre immédiatement (je suis débordée d'ici la relâche avec l'université et la fin d'étape à l'école, et ensuite je pars dans les Bahamas où je préfère ne pas amener de livres empruntés), mais je m'y mettrai certainement dès le retour de la relâche !
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